Personne mettant l'enveloppe dans l'urne pour les élections

Démarches élections

Pour participer aux élections, il est nécessaire d’être inscrit sur les listes électorales de la commune. L’inscription peut se faire en mairie ou en ligne sur service-public.fr, selon votre situation.
Cette page vous guide pour vous inscrire, vérifier votre situation électorale ou effectuer un changement d’adresse.

S’inscrire sur les listes électorales : ce qu’il faut savoir

L’inscription sur les listes électorales est obligatoire pour voter. Elle peut se faire :

  • en ligne sur service-public.fr,

  • ou en mairie, en remplissant un formulaire d’inscription et en fournissant une pièce d’identité et un justificatif de domicile.

Les jeunes ayant effectué leur recensement citoyen à 16 ans sont inscrits automatiquement à leur majorité. Toutefois, il est conseillé de vérifier son inscription via le site de l’INSEE ou en mairie.

Vous avez déménagé ?

Un changement d’adresse, même au sein de la commune, peut modifier votre bureau de vote. Pensez à signaler votre nouvelle adresse en mairie ou via service-public.fr pour mettre à jour votre situation électorale.

Délais à respecter

Pour pouvoir voter lors d’une élection, vous devez être inscrit au plus tard le 6ᵉ vendredi précédant le scrutin (sauf situation particulière).
En dehors de cette période, vous pouvez vous inscrire ou mettre à jour votre adresse à tout moment de l’année.

Toutes vos démarches liées aux élections

Vous souhaitez voter aux prochaines élections ? Gagnez du temps grâce au service en ligne sécurisé de service-public.fr : inscription, changement d’adresse, vérification…

Inscription sur les listes électorales

Fiche pratique

Copropriété en graves difficultés : plan de sauvegarde

Vérifié le 29/10/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lorsqu'une copropriété est confrontée à de graves difficultés (sociales, techniques et financières), le préfet peut intervenir pour prendre certaines mesures. Si les mesures ne permettent pas de régler les difficultés, une procédure d'expropriation de l'immeuble concerné peut être engagée.

Le préfet qui a connaissance de graves difficultés rencontrées par une copropriété peut prendre certaines mesures.

Ces difficultés peuvent être d'ordre social (copropriétaires défaillants), technique (immeuble dégradé), financier (nombre d'impayés importants).

Le préfet peut demander l'intervention d'une commission chargée d'élaborer un diagnostic et un plan de sauvegarde de l'immeuble.

Cette commission est composée des personnes suivantes :

  • Maire de la commune de l'immeuble
  • Président de l'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental
  • Président du conseil syndical ou administrateur provisoire s'il en existe un
  • Représentants des propriétaires et locataires de l'immeuble concerné

La demande d'intervention d'une commission peut également provenir des personnes suivantes :

Le plan de sauvegarde prévoit les mesures suivantes :

  • Redressement de la situation financière de la copropriété
  • Clarification et simplification des règles de structure et d’administration de l'immeuble
  • Réalisation de travaux de conservation de l'immeuble (par exemple, réfection du gros œuvre) ou tendant à réduire les charges de fonctionnement trop importantes
  • Information des occupants de l'immeuble (propriétaires, locataires...) pour restaurer les relations sociales

Le syndic de copropriété doit remettre à la commission tous les documents utiles à l'élaboration et à la mise en œuvre du plan de sauvegarde.

Les documents sont remis à la demande de la commission, sans frais.

La commission doit réaliser un projet de plan de sauvegarde.

Ce projet doit être approuvé par le préfet.

Les intervenants suivants doivent donner leur avis sur le projet de plan :

  • Maire
  • Président de l'EPCI compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental ayant signé une convention d'attribution d'aides publiques au profit de la copropriété

Le projet de plan, puis le plan définitif réalisé par la commission sont envoyés par lettre recommandée avec avis de réception au syndic (ou à l'administrateur provisoire s'il en existe un).

Le préfet désigne un coordonnateur chargé de veiller à la bonne application du plan de sauvegarde. Ce coordonnateur peut obliger le syndic à respecter les mesures du plan.

Le plan de sauvegarde proposé par la commission est fixé pour 5 ans.

Le plan est renouvelable par période de 2 ans.

Le syndic doit organiser le vote des mesures préconisées par le plan de sauvegarde.

Pour cela, il doit inscrire les mesures à l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale si elle intervient dans les 6 mois suivant l'approbation du plan.

Par contre, si la prochaine assemblée générale n'intervient pas dans les 6 mois à partir de l'approbation du plan, le syndic convoque une assemblée générale extraordinaire.

Si malgré les mesures préconisées par le plan, la copropriété reste confrontée à de graves difficultés, le tribunal peut être saisi par l'une des personnes suivantes :

  • Préfet
  • Maire
  • Président de l'EPCI
  • Administrateur provisoire s'il en existe un
  • 1 ou plusieurs copropriétaire(s)

Le tribunal peut prononcer l'état de carence de la copropriété et engager une procédure d'expropriation.

Vérifier son inscription et son bureau de vote

Fiche pratique

Copropriété en graves difficultés : plan de sauvegarde

Vérifié le 29/10/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lorsqu'une copropriété est confrontée à de graves difficultés (sociales, techniques et financières), le préfet peut intervenir pour prendre certaines mesures. Si les mesures ne permettent pas de régler les difficultés, une procédure d'expropriation de l'immeuble concerné peut être engagée.

Le préfet qui a connaissance de graves difficultés rencontrées par une copropriété peut prendre certaines mesures.

Ces difficultés peuvent être d'ordre social (copropriétaires défaillants), technique (immeuble dégradé), financier (nombre d'impayés importants).

Le préfet peut demander l'intervention d'une commission chargée d'élaborer un diagnostic et un plan de sauvegarde de l'immeuble.

Cette commission est composée des personnes suivantes :

  • Maire de la commune de l'immeuble
  • Président de l'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental
  • Président du conseil syndical ou administrateur provisoire s'il en existe un
  • Représentants des propriétaires et locataires de l'immeuble concerné

La demande d'intervention d'une commission peut également provenir des personnes suivantes :

Le plan de sauvegarde prévoit les mesures suivantes :

  • Redressement de la situation financière de la copropriété
  • Clarification et simplification des règles de structure et d’administration de l'immeuble
  • Réalisation de travaux de conservation de l'immeuble (par exemple, réfection du gros œuvre) ou tendant à réduire les charges de fonctionnement trop importantes
  • Information des occupants de l'immeuble (propriétaires, locataires...) pour restaurer les relations sociales

Le syndic de copropriété doit remettre à la commission tous les documents utiles à l'élaboration et à la mise en œuvre du plan de sauvegarde.

Les documents sont remis à la demande de la commission, sans frais.

La commission doit réaliser un projet de plan de sauvegarde.

Ce projet doit être approuvé par le préfet.

Les intervenants suivants doivent donner leur avis sur le projet de plan :

  • Maire
  • Président de l'EPCI compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental ayant signé une convention d'attribution d'aides publiques au profit de la copropriété

Le projet de plan, puis le plan définitif réalisé par la commission sont envoyés par lettre recommandée avec avis de réception au syndic (ou à l'administrateur provisoire s'il en existe un).

Le préfet désigne un coordonnateur chargé de veiller à la bonne application du plan de sauvegarde. Ce coordonnateur peut obliger le syndic à respecter les mesures du plan.

Le plan de sauvegarde proposé par la commission est fixé pour 5 ans.

Le plan est renouvelable par période de 2 ans.

Le syndic doit organiser le vote des mesures préconisées par le plan de sauvegarde.

Pour cela, il doit inscrire les mesures à l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale si elle intervient dans les 6 mois suivant l'approbation du plan.

Par contre, si la prochaine assemblée générale n'intervient pas dans les 6 mois à partir de l'approbation du plan, le syndic convoque une assemblée générale extraordinaire.

Si malgré les mesures préconisées par le plan, la copropriété reste confrontée à de graves difficultés, le tribunal peut être saisi par l'une des personnes suivantes :

  • Préfet
  • Maire
  • Président de l'EPCI
  • Administrateur provisoire s'il en existe un
  • 1 ou plusieurs copropriétaire(s)

Le tribunal peut prononcer l'état de carence de la copropriété et engager une procédure d'expropriation.

Faire un changement d'adresse

Fiche pratique

Copropriété en graves difficultés : plan de sauvegarde

Vérifié le 29/10/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lorsqu'une copropriété est confrontée à de graves difficultés (sociales, techniques et financières), le préfet peut intervenir pour prendre certaines mesures. Si les mesures ne permettent pas de régler les difficultés, une procédure d'expropriation de l'immeuble concerné peut être engagée.

Le préfet qui a connaissance de graves difficultés rencontrées par une copropriété peut prendre certaines mesures.

Ces difficultés peuvent être d'ordre social (copropriétaires défaillants), technique (immeuble dégradé), financier (nombre d'impayés importants).

Le préfet peut demander l'intervention d'une commission chargée d'élaborer un diagnostic et un plan de sauvegarde de l'immeuble.

Cette commission est composée des personnes suivantes :

  • Maire de la commune de l'immeuble
  • Président de l'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental
  • Président du conseil syndical ou administrateur provisoire s'il en existe un
  • Représentants des propriétaires et locataires de l'immeuble concerné

La demande d'intervention d'une commission peut également provenir des personnes suivantes :

Le plan de sauvegarde prévoit les mesures suivantes :

  • Redressement de la situation financière de la copropriété
  • Clarification et simplification des règles de structure et d’administration de l'immeuble
  • Réalisation de travaux de conservation de l'immeuble (par exemple, réfection du gros œuvre) ou tendant à réduire les charges de fonctionnement trop importantes
  • Information des occupants de l'immeuble (propriétaires, locataires...) pour restaurer les relations sociales

Le syndic de copropriété doit remettre à la commission tous les documents utiles à l'élaboration et à la mise en œuvre du plan de sauvegarde.

Les documents sont remis à la demande de la commission, sans frais.

La commission doit réaliser un projet de plan de sauvegarde.

Ce projet doit être approuvé par le préfet.

Les intervenants suivants doivent donner leur avis sur le projet de plan :

  • Maire
  • Président de l'EPCI compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental ayant signé une convention d'attribution d'aides publiques au profit de la copropriété

Le projet de plan, puis le plan définitif réalisé par la commission sont envoyés par lettre recommandée avec avis de réception au syndic (ou à l'administrateur provisoire s'il en existe un).

Le préfet désigne un coordonnateur chargé de veiller à la bonne application du plan de sauvegarde. Ce coordonnateur peut obliger le syndic à respecter les mesures du plan.

Le plan de sauvegarde proposé par la commission est fixé pour 5 ans.

Le plan est renouvelable par période de 2 ans.

Le syndic doit organiser le vote des mesures préconisées par le plan de sauvegarde.

Pour cela, il doit inscrire les mesures à l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale si elle intervient dans les 6 mois suivant l'approbation du plan.

Par contre, si la prochaine assemblée générale n'intervient pas dans les 6 mois à partir de l'approbation du plan, le syndic convoque une assemblée générale extraordinaire.

Si malgré les mesures préconisées par le plan, la copropriété reste confrontée à de graves difficultés, le tribunal peut être saisi par l'une des personnes suivantes :

  • Préfet
  • Maire
  • Président de l'EPCI
  • Administrateur provisoire s'il en existe un
  • 1 ou plusieurs copropriétaire(s)

Le tribunal peut prononcer l'état de carence de la copropriété et engager une procédure d'expropriation.

Faire une procuration

Fiche pratique

Copropriété en graves difficultés : plan de sauvegarde

Vérifié le 29/10/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)

Lorsqu'une copropriété est confrontée à de graves difficultés (sociales, techniques et financières), le préfet peut intervenir pour prendre certaines mesures. Si les mesures ne permettent pas de régler les difficultés, une procédure d'expropriation de l'immeuble concerné peut être engagée.

Le préfet qui a connaissance de graves difficultés rencontrées par une copropriété peut prendre certaines mesures.

Ces difficultés peuvent être d'ordre social (copropriétaires défaillants), technique (immeuble dégradé), financier (nombre d'impayés importants).

Le préfet peut demander l'intervention d'une commission chargée d'élaborer un diagnostic et un plan de sauvegarde de l'immeuble.

Cette commission est composée des personnes suivantes :

  • Maire de la commune de l'immeuble
  • Président de l'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental
  • Président du conseil syndical ou administrateur provisoire s'il en existe un
  • Représentants des propriétaires et locataires de l'immeuble concerné

La demande d'intervention d'une commission peut également provenir des personnes suivantes :

Le plan de sauvegarde prévoit les mesures suivantes :

  • Redressement de la situation financière de la copropriété
  • Clarification et simplification des règles de structure et d’administration de l'immeuble
  • Réalisation de travaux de conservation de l'immeuble (par exemple, réfection du gros œuvre) ou tendant à réduire les charges de fonctionnement trop importantes
  • Information des occupants de l'immeuble (propriétaires, locataires...) pour restaurer les relations sociales

Le syndic de copropriété doit remettre à la commission tous les documents utiles à l'élaboration et à la mise en œuvre du plan de sauvegarde.

Les documents sont remis à la demande de la commission, sans frais.

La commission doit réaliser un projet de plan de sauvegarde.

Ce projet doit être approuvé par le préfet.

Les intervenants suivants doivent donner leur avis sur le projet de plan :

  • Maire
  • Président de l'EPCI compétent en matière d'habitat
  • Président du conseil départemental ayant signé une convention d'attribution d'aides publiques au profit de la copropriété

Le projet de plan, puis le plan définitif réalisé par la commission sont envoyés par lettre recommandée avec avis de réception au syndic (ou à l'administrateur provisoire s'il en existe un).

Le préfet désigne un coordonnateur chargé de veiller à la bonne application du plan de sauvegarde. Ce coordonnateur peut obliger le syndic à respecter les mesures du plan.

Le plan de sauvegarde proposé par la commission est fixé pour 5 ans.

Le plan est renouvelable par période de 2 ans.

Le syndic doit organiser le vote des mesures préconisées par le plan de sauvegarde.

Pour cela, il doit inscrire les mesures à l'ordre du jour de la prochaine assemblée générale si elle intervient dans les 6 mois suivant l'approbation du plan.

Par contre, si la prochaine assemblée générale n'intervient pas dans les 6 mois à partir de l'approbation du plan, le syndic convoque une assemblée générale extraordinaire.

Si malgré les mesures préconisées par le plan, la copropriété reste confrontée à de graves difficultés, le tribunal peut être saisi par l'une des personnes suivantes :

  • Préfet
  • Maire
  • Président de l'EPCI
  • Administrateur provisoire s'il en existe un
  • 1 ou plusieurs copropriétaire(s)

Le tribunal peut prononcer l'état de carence de la copropriété et engager une procédure d'expropriation.